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(¯`·._.-> La Passion Des Pompiers

(¯`·._.-> La Passion Des Pompiers
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9 mars 2007

.:. DrAgOn 29 .:.

Une des mission du dragon 29 de la sécurité civile est L' évacuations de personnes en détresse voici ici une photo d'un dragon 29 en pleine action : l'élitreillage d'une vicitime

dragon_29_action

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9 mars 2007

.:. DrAgOn 29 .:.

Missions : dragon_29

-Mettre à disposition auprès des autorités responsables des secours,
un hélicoptère et un équipage 24h/24h, 365 jours par an, capable d'assurer
les missions suivantes :

-Missions de secours d'urgence et sauvetage (prioritaires)
*Evacuations de personnes en détresse
*Transport d'équipes de secours et de matériel spécialisé
*Recherche, surveillance et coordination des secours

-Autres missions de secours
*Lutte contre les feux de forêts
*Transports sanitaires inter hospitaliers à caractère d'urgence

- Missions de police
*Sécurité et prévention générale
*Missions de prévention générale et d'assistance technique

-Au profit d'autres administrations
-ou des collectivités locales


Activités :

Chaque année, environ 13 000 heures de vol sont effectuées.
L'année 2003 a été exceptionnelle:

· 8125 heures en missions de secours et de sauvetage, représentant : 9 400 personnes secourues,
· 700 heures en missions de recherche
· 1810 heures en missions de reconnaissance
et 6715 heures en missions diverses dont la formation et l'entraînement des équipages .

Soit un total de 17350 heures de vol.


Depuis sa création, le Groupement Hélicoptère totalise, au 31/12/2003,
420 950 heures de vol.
Cela représente environ 300 000 missions de secours,
et surtout, 193275 personnes secourues.

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9 mars 2007

.:. AbRéViAtIoN dEs VéHiCuLeS .:.

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BLS : Bateau Léger de Sauvetage
BLRS: Bateau Léger de Reconnaissance et de Sauvetage
BRS : Bateau de Reconnaissance et de Sauvetage
CBEA: Camion Bras Élévateur Articulé
CCFL : Camion Citerne de Feux Légers
CCFM : Camion Citerne de Feux Moyens
CG : Camion Grue
CCGC : Camion Citerne Grande Capacité
CCI : Camion Citerne Incendie
CD : Camion Dévidoir
CDHR : Camion Dévidoir Hors Route
CID : Camion d'Interventions Diverses
EPA : Échelle Pivotante Automatique
EPSA : Échelle Pivotante Semi-Automatique
FMGP : Fourgon Mousse Grande Puissance
FPT : Fourgon Pompe Tonne
FPTGP : Fourgon Pompe Tonne Grande Puissance
FPTL : Fourgon Pompe Tonne Léger
FSD : Fourgon de Sauvetage Déblaiement
FSR : Fourgon de Secours Routiers
HBE : Hélicoptère Bombardier d'Eau
PCM : Poste de Commandement Mobile
PMA : Poste Médical Avancé
SMUR : Service Mobile d'Urgence et de Réanimation
VAP : Véhicule Anti Pollution
VC : Véhicule Cynophile
VEMA : Véhicule à Équipement Modulaire Amovible
VFS : Véhicule Pour Feux Spéciaux
VID : Véhicule d'Interventions Diverses
VL : Véhicule de Liaison
VLHR : Véhicule de Liaison Hors Route
VLM : Véhicule Léger Médicalisé
VLPC : Véhicule Léger Poste de Commandement
VLTT : Véhicule Léger Tout Terrain
VMA : Véhicule Mousse Aéroport
VPCA : Véhicule Porte Cellule Amovible
VPCHR : Véhicule Porte Cellule Hors Route
VPI : Véhicule de Première Intervention
VPL : Véhicule de Plongée
VPR : Véhicule de Protection
VRM : Véhicule Radio-Médicalisé
VSAB : Véhicule de Secours aux Asphyxiés et Blessés
VSR : Véhicule de Secours Routiers
VTP : Véhicule de Transport de Personnel
VTU : Véhicule Tout Usage

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9 mars 2007

.:. VTU ~~> VéHiCuLe tOuT uSaGe .:.

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vtu_int

Véhicule Tout Usage est utilisé pour divers interventions
comme les nids de guêpes,
les fuites d'eau,
les animaux blessés, ...

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9 mars 2007

.:. 10 CoMmEnDeMeNtS .:.

photo_13296520Aux mamoeuvres naturellement - Chaque fois tu participeras
Aps chaque intervention - Matériel tu rangeras
Jamais les anciens - Tu ne critiqueras
Tes supérieurs - Toujours tu respecteras
Aux cérémonies et réunions - Souvent tu assisteras
Et avec tes acmarades - L'entente gnera
Aux manifestations sportives - Ton corps, tu repsenteras
Pour emporter la victoire - Avec ardeur tu combattras
S
ainte Barbe ta patronne - Souvent tu prieras
E
t en fin d'ane - Dignement tu teras.

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8 mars 2007

.:. EtHiQuE dEs pOmPiErS .:.

361725568Je ne veux connaître ni ta philosophie, ni ta religion, ni ta tendance politique, peu m'importe que tu sois jeune ou vieux,riche ou pauvre, français ou étranger. Si je me permets de te demander quelle est ta peine, ce n'est pas par indiscrétion mais bien pour mieux t'aider. Quand tu m'appelles, j'accours, mais assure-toi de m'avoir alerté par les voies les plus rapideset les plus sûres. Les minutes d'attente t'apparaîtront longues, très longues, dans ta détresse pardonne mon apparente lenteur. ”

Général Casso, commandant la Brigade
du 1er avril 1967 au 26 août 1970

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15 juin 2006

.:. MaUvAiS tUyAuX .:.

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En voulant installer un dispositif de surveillance dans une salle du département australien, les as du contre-espionnage ont commis une bourde... Ils ont installé leur dispositif dans un tuyau alimentant le système anti-incendie et des tonnes d'eau se sont repandues dans la salle! Bilan: 450 000 euros de dégâts.

15 juin 2006

.:. "aUrAis-Je Pu, aUrAiS-Je Du? " .:.

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Tout d'abord je tien a preciser que ce qui est ecrit et une histoire réel vecu par ce pompier,je presice aussi que ce texte est d'une forte emotion alors accrochez vous avant de le lire pour ceux qui auront le courage de le faire,mais ceci est a lire:



Ce soir là, je suis ch
ef B.A.T, c'est à dire chef du Binôme d'attaque au F.P.T (fourgon pompe tonne) ou autrement dis, le « Gros camion rouge pour éteindre les feux ».
La gard
e s'apprête a passer un bonne nuit avec un Fourgon remplit de quatre volontaires sur les six hommes que compte l'engin.

Et pour
tant, une innocente flammèche va chambouler tout ça.

" Bonjour a toi lecteur a
nonyme, je me présente. Je m'appel Cyril, 28ans, sapeur pompier professionnel depuis 2003 et pompier volontaire depuis une dizaine d'années et papa d'une petite fille qui avait quatre ans cette année là.
Aujourd'hui, je me décide enfin à exorciser cette intervention qui me poursuit comme un mauvais rêve ou un terrible cauchemar.

Vous savez, cette sensation que l'on ressent lorsque l'on ce dis ; Aurais-je pu, aurais-je du ?. Ce sentiment de culpabilité que l'on ne peut expliquer. Cette terrible phrase qui nous hante a jamais ; Et si...j'avais fais ceci, et si...j'avais fais cela.

Alors un peu de courage...
et commençons.

Nous som
me le 18 novembre 2002, il est 00h53 et je dors comme un bébé, lorsque le fameux « bip » me fait sortir de ma léthargie. J'ouvre les yeux en grand et « saute » dans mes rangers. Je sort de la chambre, ferme la porte et m'apprête à descendre le premier étage par la perche de feu.
U
ne petite voie me dit alors : « Attention mon gars t'es pas bien réveillé». Alors je prend l'escalier afin d'éviter le pire, c'est a dire THE chute. A peine la première marche en vue, je me rends compte que la seconde est déjà là. « Ouf ! » un peu plus et j'y avais droit a ma gamelle. M'enfin, j'arrive tout de même a descendre et a ma retrouver par je ne sais quel moyen a ma place dans le fourgon. Il démarre et « C'est parti moi kiki ».
Mince alors il est
assez rare que je soi chef B.A.T !!! Alors si sa crame, ce soir, c'est pour moi ! hi hi hi.
Bizarrement
, le calme et le silence sont pesants. D'habitude, tout le monde est excité comme des puces en partant en feu et là, rien. Pas un bruit, si ce n'est le ronflement du moteur, qui a une sérieuse tendance a bercé. A cette heure-ci, il n'y a personne dans les rues, et il n'est donc pas nécessité d'user du « pimpon » qui aurait pu m'éviter de me rendormir.
Mai
s arrivé a environ trois cent mètres des lieux de l'intervention, c'est le vacarme de la radio qui me fout' un de c'est coup de pied au cul que l'on ne reçoit qu'une seule foi dans sa vie. « Important panache de fumée » que le chef d'agrès du fourgon ce met a hurler dans cette radio.
« Oulla sa doit bien
riffer ». que je me dis !!!
Effectivement, en levant
les yeux, je vois une façade de bâtiment, éclairé par les plus grandes flammes qu'il m'ait été donné de voir.
Bon je finis enf
in de me préparer, les gants, le cuir, le casque, l'A.R.I (la bouteille pour respirer), tout est ok.
«
Alors là mon gars, va falloir assurer ».
On arrive
sur les lieux et là, « wouaaa ».
Je ressens encore
cette folle et immense excitation surplomber tout l'équipage.
L'engin s'arrê
te et Bruno le chef d'agrès donne son premier ordre : « A vos rangs !!! ». Nous sommes alors tous les six, là, au garde a vous derrière le fourgon et fin prêt. Enfin, autant que nous pouvions nous l'imaginer...

Bruno en tête, et
moi suivi de mon équipier, nous passons sous le porche qui nous sépare du bâtiment. Je revois encore cette scène comme si s'était hier. Franchir ce passage, c'était comme ouvrir la porte de l'enfer. Les gens hurlent, crient et paniquent, les vitres éclatent les unes après les autres en laissant s'échapper cette terrible fumée noir. Les gens forment un attroupement devant le bâtiment de quatre étages et pointent du doigt les personnes restés dans ce véritable piège de feu. Certains crient à leur fenêtre ce célèbre « au secours » tandis que les autres courent pour se réfugier.
Je vois
encore le regard de Bruno. Et tous s'enchaîne.
«
Une LDV », « Ok reçu ». A peine la lance établit qu'il me faut faire une grosse lance, afin d'éviter la propagation du foyer au quatrième étage, qui commençais déjà a fumer.
C'est
l'équipe du S.M.U.R (Pompier de la même caserne que nous mais détaché au S.A.M.U) a qui je donne la grosse lance, afin de monter dans les étages avec la première lance.
Bruno en
tête, nous commençons notre ascension dans les escaliers noircis par la fumée. La chaleur est oppressante et s'accroît a chaque marches gravit.
Arrivé au
premier étage, Bruno nous donne alors pour mission, l'extinction du foyer qui ce trouve au deuxième étage. Nous mettons alors mon équipier et moi nos masques et je lui dis alors : « Allez on y va, on fonce au deuxième ! ».
La cha
leur s'intensifie alors brutalement, et nous sommes stoppés net dans notre élan au niveau du demi pallier par le rayonnement insupportable d'une fuite de gaz enflammé, situé à moins d'un mètre de l'appartement concerné. Le masque sur le visage, je suis prêt « rentrer dedans » comme un jeune fougueux que je suis tout en faisant bien entendu attention a mon équipier. Je teste ma lance, l'eau est bien là. En rapide coup d'œil, je suis fin prêt.
Mais c'est alor
s a ce moment, que Bruno remonte presque a notre niveaux et crie : « Cyril !!! il resterait du monde là haut !!! ». Je redescend quelques marches afin de comprendre ce qu'il hurle : « Quoi ??? », « Un témoin viens de me dire que quelqu'un manque, tu sais avec la femme qui a sauté derrière ! ». « Ah quel étage ? ». Et dans le vacarme le plus complet, il dévie son regard de ma direction, fixe cette fuite gaz enflammé qui nous brûle déjà de sa chaleur la plus intense et qui surtout nous empêche toute progression aux niveaux supérieurs et me jette « Un gamin serait resté a l'étage au dessus ! tu peux y aller ? ».
Mon sang ce glace alor
s et je sens mon corps entier ce remplir de cette drôle de sensation que l'on ne ressent que très rarement. J'ai chaud et froid en même temps, a moins que ce soit dans l'autre sens. C'est trop confus.
San
s même réfléchir, je détourne mon regard et défit cet élément devenu comme fou qui danse en agitant les flammes comme pour me dire, « aller viens si tu ose, mais tu ne passera pas ! ». Je la traverse et sent mon cuir rétrécir sur moi au fur et a mesure de mon combat contre cette partie de l'enfer. Je me retourne comme pour lui cracher dessus et cri « je suis passé ! je suis passé ! ».
J'arrive au demi palli
er du troisième étage. Mon souffle et mon cœur « s'emballent ». Je sent les gouttes de sueurs couler un peu partout sur mon corps qui me brûlent a chaque centimètre parcouru sur ma peau. C'est l'effet cocotte minute bien connu des pompier. Je monte les marches et arrivé à la quatrième marche, j'aperçois deux petits pieds. Ma première pensé sera « pourvu que ce soit une poupée ! ». Ne me demandez pas pourquoi une poupée ! c'est comme ça. Je voulais y croire, tomber sur un jouer. Et plus je prend de la hauteur, plus je découvre ce petit corps allongé...d'un enfant.
J'en ai des frisso
ns, rien qu'a l'écrire. Je tremble et les larmes montent en moi comme si elles voulaient « exploser ».
Je m'approche de lui. Il
est allongé là. Un chien qui se tien a sa tête comme s'il avait veillé sur lui jusqu'à son dernier souffle. Je lui prend la main et sent ce corps mou, sans vie. « Petit ! petit ! ouvre les yeux ! bouge !!! ». Je lui hurle dessus comme pour le réveiller. A ce moment, je n'entend plus rien. Plus de bruits de flammes qui crépitent, plus les hurlements des gens dehors, plus les camion qui s'égosillent a pleine puissance.
Je suis là s
eul avec lui. Je prend son bras gauche l'assoit et lui hurle : « Je te sort de là accroche toi !!! ». Je le porte alors sur mon dos et entame une descente infernal dans les escaliers. La fuite de gaz n'aura pas le temps de nous toucher, et les tuyaux qui jonchent la totalité de la petite cache d'escalier totalement enfumé, n'auront pas raison de moi. Je le tiens sur mon dos et il ne bougera pas de là !
Je
vois les lampadaires, les gens attroupés au pied de l'immeubles des pompiers qui « courent partout ». Enfin, je suis dehors. « Un S.M.U.R ! un S.M.U.R ! » (c'est l'ambulance) que je cri. Un collègue du S.M.U.R cour vers moi et me dit : « viens l'ambulance est là bas ». Il m'accompagne un peu plus loin et je dépose ce petit bout de choux a terre. Nous commençons alors les premiers soins avant que le reste de l'équipage de l'équipe médicale n'arrive. Je m'écarte a quelques mètre et m'écroule a même le sol. Je suis là, vide de ce pouvoir qui m'avait donné la force, vide de tout autre vision que ce petit bonhomme sur lequel les médecins s'agglutinent. Et c'est alors que j'entend cette voix terrible : « C'est fini, on ne peux plus rien faire, il est trop gravement brûlé, on ne peu même pas intuber ».
Cet instant
résonne encor en moi comme un couteau que l'on agiterait dans un plaie jamais refermé. Je pense, non, je suis sure, que c'est l'instant le plus pénible je n'avais vécu jusqu'alors.
Je referme mes poing av
ec force comme pour réunir les quelques forces qui me reste, me lève avec un esprit de vengeance et me met a courir pour aller récupérer la lance et éteindre le « meurtrier ». L'extinction bien qu'épuisante, se déroulera sans problèmes particuliers si ce n'est un « coup de bourg » dans l'appartement car l'électricité n'avait pas disjoncté !
Pendant le débl
ais (phase qui consiste en quelque sorte a nettoyer), on viendra nous apprendre, qu'il manquait un autre enfant. L'émotion est a son comble. Nous fouillons l'appartement dans ses moindres recoins et « C'est bon les gars, en fait la gamine est déjà a l'hôpital avec sa mère ». Il s'agissait en faite de la sœur du « petit ».Cette phase sera longue et pénible, entre coupé de petites pauses pour fumer « une clope » et causer avec les autres.
Une foi les tuyaux
rangés a après avoir fait un « petit tour » dans les lieux, c'est aux alentour de 08h00 que nous rentrons à la caserne. Le silence est maître a bord. Les regard vides et les yeux fatigués nous arrivons enfin.
Bruno vient rapidemen
t de parler dans un coin : « Tu sais Cyril, tu peux être fier ! Moi je suis fier de toi en tout cas ! Tu a eu les couilles !».
U
ne bonne douche, et je rentre a la maison. Le temps de prendre un café bien chaud au foyer, je ne décroche pas un mot. Je ne sais plus quoi penser, ou plutôt si, a cette image qui vient de ce graver en moi, comme un tournant dans ma vie.
Je prend la voitur
e et ne vois même pas le chemin défiler. J'ouvre la porte d'entrée, ma femme est là. « Oulla, toi ça va pas du tout ! » A peine finit t-elle la phrase que je fond en larme. Je lui raconte entre deux sanglots. Aujourd'hui l'émotion me submerge encor.
Dans
la matinée, le téléphone sonnera pour m'apprendre qu'il me faut aller au commissariat rejoindre Bruno pour une déposition. Dans la salle d'audition, il me faut encor en parler, raconter ce drame, expliquer le moindre détail de cette intervention qui m'a tant bouleversé.
J'y appren
drai les premières constations de l'enquête. Des enfant, une bougie et un matelas. Le feu aurait commencé au deuxième étage sur un lit. Le propriétaire aurait alors sorti le matelas en feu dans la cage d'escalier, mais le feu avais déjà atteint l'appartement.
Sortant avec sa famil
le pour échapper aux flammes, c'est sans espoir qu'ils regardent l'immeuble partir en fumer.
Le « peti
t bout de choux » habitait juste au dessus. Ce soir là il était chez lui avec sa mère et sa sœur. Prise de punique, la mère avec la jeune enfant de quelques mois dans les bras, c'est présentée a la fenêtre pour sauter et donc échapper aux fumées asphyxiantes. Mais a 8 ans, on a pas la même vision de choses, il n'a donc pas suivi et est sortit par la porte. J'ai peine a imaginer le terrible tableau de l'enfer qu'il a put voir en ouvrant la porte.

Quelques j
ours plus tard, il me faudra une fois de plus exposer les faits lors d'un débriefing dans une grande salle au milieu de ma hiérarchie. Tous on écouté avec respect. Je tien aussi a remercier le chef de centre et les tous ceux qui on essayé me réconforter et m'aider.

En Juin 2003,
lors de la journée annuel du sapeur pompier, j'ai reçus des mains du préfet, avec quatre autres pompiers , la médaille de bronze pour « Acte de courage et de dévouements », la célèbre « bleu blanc rouge ».
En « souvenir », je gard
e les gants que je portais le jour du drame et quelques articles qui parurent ici et là.
Mais le plus
dure, c'est de vivre avec cette image, qui sait revenir à la surface lorsque je n'y pense pas.
Mon pre
mier pas a été d'en parler, mon second de retourner sur les lieux de l'intervention et mon troisième de l'écrire. Y aura t'il un quatrième pas a franchir ? Oui je le pense, et un cinquième et un sixième...ainsi de suite. Bref c'est une véritable marche que j'ai entamé ce soir là.

Lourd est le poids de cette histoire a porter.
Alo
rs « Aurais-je pu, aurais-je du ? »
Pourquoi je me
sent coupable ?

Notre des
tin s'est croisé un soir
Tu a su changé le miens
Ma
is j'ai n'ai pas pu changer le tien.
Tu sais « peti
t » ta mort a croisé ma vie.

A toi que je te garderais en moi jusqu'à la ... "

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15 juin 2006

.:. vOiE pOmPiErS .:.

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15 juin 2006

.:. Le bAiSeR .:.

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Il venait juste de la sauver de sa maison en feu, 
la sortant sur le parterre tout en retournant combattre l'incendie.

Elle attendait des bés.

Le pompier eut peur d'elle en la sortant parce qu'il
n
'avait jamais côtoyé de Doberman avant.

Quand finalement l'incendie fut contrôlé, il s'est assis sur le gazon
p
our reprendre son souffle et prendre un peu de repos. 

C'est à ce moment qu'un photographe du journal "The Observer" de la ville de Charlotte, 
C
aroline du Nord a remarqué que la femelle Doberman fixait le pompier.

Il l'a vu s'approcher du pompier et se demandait ce qu'elle avait l'intention de faire. 

C'est alors qu'il la vit donner un baiser à l'homme qui l'avait sauvé du brasier !

36218592712

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